J'ai créé un Refuge LPO dans mon petit jardin Le Clos fleuri .

Publié le par Le jardin Le Clos fleuri de Claudette

J'ai créé un Refuge LPO dans mon petit jardin Le Clos fleuri .
BIENVENUE sur mon site ! Voici des News de mon jardin Le Clos fleuri : aujourd'hui mon refuge LPO "

Ma plaque LPO ,posée sur le pilier d'entrée du jardin. 

Voici les 15 gestes pour faire de mon Refuge un lieu accueillant pour la biodiversité :

Je fais de mon terrain un espace sans chasse et sans pêche pour la biodiversité
Je n’utilise pas de produits chimiques nocifs pour la faune et la flore.

L'Exochorda racemosa Niagara est un arbuste d'ornement compact à branches arquées retombantes portant une multitudes de fleurs en bouquets d'un blanc pur .


Je favorise les gîtes naturels et aménage mon jardin pour accueillir la faune sauvage 

Je laisse des zones naturelles d’herbes hautes  et de fleurs sauvages
Je plante et préserve des variétés locales d’arbres et d’arbustes 

Le Daphné Odora, connu aussi sous le nom de Daphné odorant, est une plante arbustive au parfum envoûtant qui nous séduit . Il nous offre une splendide floraison de janvier à mars

Je favorise l’accès aux ressources alimentaires naturelles pour la faune sauvage 

Je favorise la circulation de la faune sauvage 
Je limite mon emprise sur le sol vivant

L'Omphalodes verna, également appelée Petite bourrache, est une petite vivace couvre-sol qui forme un merveilleux tapis de fleurs évoquant des myosotis

Je limite les pollutions lumineuses et sonores pour respecter la faune et la flore sauvages  

Je cohabite avec la faune et la flore sauvages du bâti 

Je récupère l’eau et dispose des points d’eau pour la faune .
Je transforme mes déchets organiques en compost
Je neutralise les pièges potentiels pour la faune au jardin .
Je contribue aux programmes de sciences participatives
Je deviens ambassadeur de la nature 

Maisons à insectes et nichoirs
Maisons à insectes et nichoirs
Maisons à insectes et nichoirs
Maisons à insectes et nichoirs

Maisons à insectes et nichoirs

Il existe de nombreux refuges pour animaux que je peux installer facilement dans mon jardin sans qu’ils ne prennent trop de place.

C’est particulièrement le cas des nichoirs pour oiseaux. Il en existe de différentes tailles en fonction des oiseaux que l'on souhaite attirer. Il faut les placer aux endroits adéquats, une mésange n’ayant pas les mêmes besoins qu’une hirondelle. 

J' installe également des mangeoires pour les oiseaux l’hiver, ce qui leur permet de trouver de la nourriture afin de les aider à résister aux températures froides. L’été, je place de petites soucoupes d’eau leur permettant  de trouver des zones pour s’abreuver. 

Au-delà des oiseaux, j' installe aussi des hôtels à insectes, qu’on trouve facilement dans les commerces.

Ils ne sont pas à négliger car les insectes permettent de polliniser les plantes mais aussi d’attirer les oiseaux. L’un et l’autre vont donc de pair pour que mon jardin soit un refuge pour la biodiversité. En guise d’hôtel à insectes, je peux créer de petits tas de branches mortes, cela marche aussi très bien. 

Dans mon jardin je privilégie le houx  qui est un d’excellent refuge pour permettre aux oiseaux de venir nicher. Pour le choix des haies,  une plante grimpante comme le lierre est également recommandée pour les plus petits oiseaux . 

De nombreuses fleurs et plantes permettent aussi d’attirer les insectes pollinisateurs, ce qui est important afin de participer à la préservation de ces espèces menacées par l’agriculture intensive. C’est le cas des herbes aromatiques (thym, romarin, lavande, sauge) ou encore de la glycine. 

 

Dans mon jardin ,pour l’entretien je pense à respecter les saisons . Par exemple, les travaux sur mes haies de lierre  sont interdits durant la période de nidification des oiseaux qui s'étend du 15 mars au 31 juillet. 

Il est aussi conseillé de ne pas tondre systématiquement son gazon et, si possible, de conserver quelques zones d'herbes hautes dans le jardin afin de faciliter le développement de la biodiversité.

Cela peut se faire au pied des arbres, autour des bandes fleuries où dans certaines zones, comme le fond du jardin. 

Enfin, je jardine sans recourir aux pesticides et autres insecticides à moins que ceux-ci ne soient labellisés pour les cultures biologiques.

Sinon, à quoi bon faire venir des oiseaux et insectes chez soi. 

J'ai créé un Refuge LPO dans mon petit jardin Le Clos fleuri .

La biodiversité au jardin:

Le jardin idéal pour la biodiversité est un savant mélange entre des interventions judicieuses à certains endroits et une absence d’activités humaines dans d’autres. Voici 10 idées pour une vie foisonnante dans votre jardin

J'ai créé un Refuge LPO dans mon petit jardin Le Clos fleuri .

Pour jardiner en respectant la biodiversité, il faut changer le regard que l’on porte habituellement sur notre jardin ou notre balcon : accepter le désordre, l’irrégularité, les surprises… Cela implique aussi de s’intéresser aux espèces animales et végétales qui nous entourent pour apprendre à cohabiter, même avec celles que l’on juge envahissantes ou gênantes. 

La meilleure méthode de jardinage pour la biodiversité est simple : elle consiste à ne rien faire ! Comme il aurait été compliqué de finir cet article dès l’introduction — et aussi parce que “ne rien faire” n’est pas toujours simple ni suffisant —  on vous détaille ici quelques techniques pour devenir un véritable hôte de la biodiversité chez vous.

1- Zéro pesticide au jardin


C’est la règle numéro 1 qui, si elle n’est pas suivie, anéantira toutes les autres actions (d’accord, on aime faire dans le mélodrame). L’utilisation de produits chimiques pour protéger ou tuer certaines espèces indésirables aura une cascade de conséquences : contamination du sol et des eaux souterraines, empoisonnement des animaux qui vivent ou se nourrissent des plantes traitées, pollution des plantes consommées, etc.

2- Favoriser la biodiversité végétale

Impossible de protéger la faune sans protéger aussi la flore, puisque l’une dépend de l’autre. Au-delà de cet intérêt direct, la biodiversité végétale a aussi une valeur intrinsèque : il s’agit de notre patrimoine végétal ! De nombreuses espèces végétales locales sont en déclin au profit d’espèces exotiques et parfois invasives. Privilégiez les plantes locales et préservez celles qui sont présentes naturellement chez vous

Le Laurier Tin, également nommé viorne ou Viburnum tinus est un arbuste de haie au feuillage persistant. Accommodant, il tolère tout type de sol et d'exposition.

3 Jardiner pour toutes les saisons

Ne concentrez pas tous vos efforts pour fleurir votre jardin ou balcon en été : c’est la période où les animaux trouvent le plus facilement de la nourriture. Pour être un hôte apprécié, il faut ouvrir son auberge tout au long de l’année !

De même, ne vous précipitez pas pour tout tailler et couper en automne ; laissez venir les graines et les fruits, faites fleurir votre pelouse au début du printemps et pensez aux plantes qui s’épanouissent entre octobre et mars (primevères, narcisses, mimosa, bruyère…).

4- Laisser traîner le bazar
Un conseil qui plaira aux plus flemmards : arrêtez de tout ramasser, nettoyer, vider dans votre extérieur. Ce que vous voyez comme du bazar est susceptible d’être un refuge, un nid, une cachette. Un nettoyage trop fréquent effraye les animaux de passage chez vous. Laissez traîner vos pots, un tas de bois, de feuilles mortes ou de branches, notamment à l’approche de l’hiver. Plus largement, un coin sans intervention (un bout de pelouse, une plante sur votre balcon) permet d’offrir un espace protecteur

5 Prévenir au naturel 
Plutôt que d’utiliser des produits, mêmes naturels, misez sur la collaboration des plants et des animaux pour protéger vos plantations.

Les plantes qui font le job des produits chimiques

Souci : repousse efficacement les pucerons et les mouches blanches.
Toutes les plantes aromatiques : attirent les pollinisateurs et repoussent de nombreux insectes grâce à leur odeur puissante.
Capucine : une véritable plante martyre qui détourne les pucerons déjà présents.
Œillet d’Inde : contre les limaces qui adorent la dévorer.
Tanaisie : la championne pour lutter contre les insectes et pour protéger des maladies cryptogamiques (comme le mildiou).
Les animaux qui font le job des produits chimiques

Coccinelles : dévorent les pucerons.
Oiseaux : consomment les vers, les chenilles ou les limaces.
Staphylin : ce petit insecte se nourrit de limaces, escargots et vers.
Toutes les araignées : régulent la population de mouches, moustiques, pucerons.
Gendarmes : ces insectes rouges et noirs se nourrissent de végétaux mais aussi d’œufs d’insectes.
Sauterelles, grillons : adorent les insectes.
3 utilisations des feuilles mortes

Les feuilles mortes au jardin ,trois manières de les utiliser différemment au jardin !

 


Saviez-vous que vous pouvez utiliser les feuilles mortes de votre jardin ?

La majorité des arbres de nos jardins sont caducs, cela signifie qu’ils perdent leurs feuilles dès l’arrivée de l’automne. Le jardin se retrouve rapidement recouvert de feuilles mortes et la corvée du ramassage commence. Pourtant, elles représentent une source de matière organique gratuite pour votre sol et vos plantes ! 

Laissez les feuilles mortes au jardin
Partout où vous laissez libre court à la végétation, il est plus utile de laisser ce couvert naturel qui va se décomposer rapidement avant le printemps. Ainsi, ne touchez pas aux feuilles mortes dans les espaces suivants de votre jardin : sous les arbres, les arbustes, sous les haies, au potager et dans les espaces plus sauvages que vous ne tondez pas.

Au-delà d’apporter de la matière organique et d’améliorer la fertilité de votre sol, elles forment aussi des abris pour la petite faune. Vous pouvez même laisser un tas de feuilles mortes plus épais dans un coin tranquille de votre jardin. 

 

Utiliser les feuilles mortes en paillage
Vous pouvez compléter la couche de feuilles mortes sous les haies, les arbustes ou encore au potager. Vous pouvez les laisser entières ou les broyer à l’aide d’un broyeur ou d’une tondeuse (toujours bien sèches).

N’hésitez pas à en ajouter à vos pots et jardinières pour l’hiver.

Les feuilles mortes dans le compost
Elles sont considérées comme un apport brun ou carboné et équilibrent vos ajouts de déchets de cuisine.

La seule difficulté est qu’il est important qu’elles soient bien sèches. Vous pouvez les ramasser pour les faire sécher à l’abri sur une bâche si la météo est pluvieuse. Veillez ensuite à bien brasser votre compost pour faciliter la décomposition.

Tout ce qui vient de la terre retourne à la terre : tout ce qui est dégradable dans la nature peut donc l’être dans votre composteur. 

Mais, attention ! Un bon compost résulte d’un équilibre subtil entre l’azote, le carbone, l’eau et l’air. 

Suivez le guide pour apprendre à bien gérer votre compost.

À mettre dans son compost
50% DE VERT — Déchets humides qui apportent de l’azote : 

Fruits et légumes, même pourris (à découper s’ils sont entiers)
Fanes et épluchures 
Marc de café avec filtres
Sachets de thé
Coquilles d’œufs broyées
Fleurs coupées, plantes d’intérieur (ne pas mettre les végétaux malades)
» Le VERT apporte l’eau nécessaire aux bactéries.

50% DE BRUN — Déchets secs qui apportent du carbone :

Feuilles mortes
Fleurs fanées
Sciure ou copeaux de bois
Cartons marrons (non imprimés), rouleaux de papier toilette cartonnés
Journaux (pas de papier lisse ou brillant) 
Essuie-tout, mouchoirs jetables (si possible non gras)
Boîtes d’œufs découpées (peu importe la couleur tant qu’elles sont en carton, mais sans les étiquettes éventuelles)
Paille, foin, branches sèches et tailles de haie bien broyées
» Le BRUN favorise le drainage et l’aération.

À éviter dans le compost
… pour débuter ! Lorsque vous serez rôdé, n’hésitez pas à faire vos propres expériences. Nombre de ces déchets pourront être incorporés dans votre compost, en trouvant le bon équilibre (taille des déchets, quantité, etc).

Composteur de jardin 

Viandes, poissons, os
Huiles
Fromages et laitages
Pelouse, surtout si elle est humide : elle vous fera des paquets sans oxygène qui développeront des gaz à effet de serre
Pain et céréales, ou alors en petite quantité

Les bons gestes
À respecter pour tous types de compostage, sauf le bokashi : 

Un bon équilibre : À chaque apport, vous devez avoir 50 % de matières azotées, 50 % de matières carbonées. Si vous déposez un seau d’épluchures, par exemple, complétez par l’équivalent en feuilles mortes ou en petits morceaux de boîtes d’oeufs.
Une humidité constante : Un compost doit toujours être humide mais pas “noyé”. Normalement, l’eau est apportée par les biodéchets (composés à 80 % d’eau). En cas de très forte chaleur (canicule), vous pourrez arroser délicatement votre composteur. Pour le lombricomposteur, vous pouvez déposer une serpillière humide sur le dessus du bac. 
De l’air ! Brassez à chaque apport, si possible, afin d’apporter de l’oxygène et ainsi accélérer le compostage. Le brassage permet d’éviter la formation de paquets et par conséquent de limiter les gaz à effet de serre qui s’en dégagent. 
La bonne taille : Découpez les fruits, légumes et matières sèches en petits morceaux pour que les micro-organismes les dégradent plus facilement. Par exemple, une peau de banane est à découper en 2. Plus votre composteur est petit, plus fins doivent être les morceaux.

6 Une pelouse accueillante
Il est tout à fait possible de trouver une méthode de tonte qui réconcilie la biodiversité et votre vie quotidienne. À vous de choisir :

zéro tonte aux pieds des haies, arbres et arbustes sur une bande de quelques centimètres.
une tonte à 6 cm de hauteur pour accueillir les fleurs mais éviter les graminées, notamment en cas d’allergies (eh oui, votre tondeuse peut se régler sur différentes hauteurs de tonte) ! 
une tonte de 7 à 8 cm de hauteur mais plus fréquente, pour avoir une pelouse bien verte.
une tonte plus rase devant la terrasse et sur un espace pour les enfants
la méthode du mulching : la tondeuse rejette les brins coupés sur le sol puis les recoupe en repassant dessus. Ils vont se décomposer et nourrir le sol (et ses habitants).
un arrêt de la tondeuse pendant 3 à 4 semaines au printemps pour nourrir le plus possible d’insectes. Il faudra néanmoins couper en plusieurs fois. 
Dans tous les cas, il faut toujours commencer par le centre de sa pelouse pour donner le temps aux insectes d’évacuer la zone (et ne jamais tondre la nuit pour préserver les hérissons… et vos relations avec les voisins

7 Des idées de plantes locales
Quelques plantes locales (France métropolitaine) : 

Chèvrefeuille des bois
Clématite des Alpes
Cardère
Mélisse officinale
Bourrache
Géranium sanguin
Campanule
Marguerite
Petite pervenche
5 plantes comestibles
8- Faire dormir les animaux
Le plus simple est de laisser traîner quelques branches et feuilles mortes dans un coin du jardin, près d’une haie par exemple. Vous pouvez installer un nichoir, fabriquer un abri pour hérissons ou un hôtel à abeilles solitaires. Toutefois, le meilleur hôtel pour les animaux reste votre jardin. Les hôtels à insectes par exemple, sont parfois mal construits ou installés au mauvais endroit, la cohabitation entre les espèces y est difficile et ils sont finalement peu utilisés. 

Si vous souhaitez que vos pensionnaires restent et reviennent, il est important d’éteindre les lumières. La pollution lumineuse est responsable, au même titre que les pesticides, de l’effondrement de la biodiversité. Chez vous, privilégiez les éclairages à la lumière jaune, éclairez brièvement (oubliez les spots lumineux allumés toute la soirée) et toujours vers le sol (évitez de transformer votre jardin en piste d’atterrissage

9- Surveiller son chat
Votre chat ou celui de vos voisins est une menace directe pour la biodiversité de votre jardin. Chasseur par instinct, il va rapidement repérer les nids et les oiseaux, les lézards ou les mulots. Il aime aussi se faire les griffes sur les arbres et gratter la terre (surtout quand vous venez de semer des graines). Aux États-Unis, les chats sont responsables de la mort de 4 milliards d’oiseaux par an et sont soupçonnés d’être à l’origine de l’extinction de trois espèces de volatiles.

Quelques conseils : nourrir correctement son chat, mettre une clochette sur son collier, éviter de le faire sortir après la pluie et tôt le matin.

 

10- Devenir refuge pour la biodiversité
Le programme Refuge LPO permet de labelliser un espace public mais aussi privé (jardin, cour ou balcon) comme “refuge pour la biodiversité”. Vous vous engagez ainsi à respecter la charte LPO ainsi que plusieurs gestes pour protéger la biodiversité chez vous. Plus de 35 000 jardins et balcons sont déjà labellisés ! Il vous suffit d’adhérer à l’association (35 €) et de vous inscrire sur le site de la LPO pour recevoir le livret d’accueil, les livrets pédagogiques pour vous guider et un nichoir ! 

Charte LPO

La nouvelle charte Refuges LPO

En créant un « Refuge LPO », je suis volontaire pour accueillir, protéger et favoriser la nature chez moi. Pour cela, j’exclus la chasse et la pêche et je m’engage à :

  • Créer des conditions propices à la vie du sol, de la faune et de la flore sauvages.
  • Préserver mon Refuge de toutes les pollutions.
  • Réduire mon impact sur l'environnement

L’objectif principal de la charte demeure la préservation des milieux et des espèces sauvages qui vivent sur le terrain.

Cette charte engage toujours moralement le gestionnaire ou le propriétaire du terrain et celle-ci ne constitue pas une règlementation juridique sur le Refuge LPO. La charte s’adresse aussi bien aux personnes physiques que morales.

La pratique de la pêche est maintenant exclue dans le Refuge au même titre que celle de la chasse. Il ne s’agit pas de la position de la LPO sur la pêche mais sur ce que doit être un Refuge LPO à la faune sauvage. En effet, la pêche impacte le milieu et la faune aquatique qui y vit. C’est pourquoi il est désormais demandé aux gestionnaires ou propriétaires de Refuges de ne pas exercer cette activité dans un souci d’apporter la quiétude à la faune et flore sauvages des lieux.

Le sol est un milieu vivant à part entière très important dans les Refuges. Il abrite en son sein de nombreux organismes et est le support de la faune et de la flore terrestres (arbres, plantes, animaux). A ce titre, il convient de laisser le sol aussi naturel que possible en évitant toute forme d’artificialisation qui l’aseptise. Protéger le sol c’est assurer le bien-être de la faune et la flore sauvages d’un milieu.

Les pollutions sonores, lumineuses et chimiques sont des atteintes directes à l’environnement. Elles perturbent le fonctionnement des écosystèmes, diminuent la richesse des milieux voire anéantissent sa faune et sa flore sauvages. C’est pourquoi nous devons rester vigilants face à ces perpétuelles menaces, tout en diminuant notre impact sur l’environnement.

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J'ai créé un Refuge LPO dans mon petit jardin Le Clos fleuri .
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