Le jardin Le Clos fleuri en juillet 2023
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Pluie tombée en juillet :
- 8 mm le lundi 24 juillet
-20 mm le samedi 29 juillet
Total pluie juillet : 28 mm
Pour celles et ceux qui n'ont pas eu la chance de venir voir mon petit Clos fleuri ,regardez la vidéo !
Ce 14 juillet 2023 ,j'ai eu le plaisir de voir naître trois bébés callopsittes ,il va falloir que je leur trouve un nom Mais pour l'instant je ne sais pas si ça sera des mâles ou femelles …
Le mois prochain je vous montrerai une nouvelle photo de leur évolution ...
J'adapte mes plantations au climat. De nombreux végétaux, comme le thym, les agaves ou encore les pourpiers sont plus résistants à la sécheresse.
J'ai acheté cette agave "Montana" chez le spécialiste : Les Cactées de Saint Jean l'agave des montagne qui peut affronter des hivers de -15°C et moins sans souffrir, …
Je taille les arbres comme les aubépines en fin de mois ; ainsi, je n'aurais pas à refaire une taille en septembre. En taillant au mois de juillet, les rameaux sont moins lignifiés et plus faciles à couper. Les arbres seront donc plus simples à modeler.
Je rabats les tiges des arbustes d'ornement à floraison printanière tardive comme l’oranger du Mexique (Choisya ternata).
Il rassemble beaucoup de qualités, mais c’est surtout sa floraison blanche raffinée et son parfum gourmand en font un arbuste très apprécié au jardin.
Je taille les fleurs fanées sur mes rosiers pour induire la formation de nouvelles tiges florifères. Pour cela je coupe la tige sous la fleur en prenant soin de ne pas ôter plus de deux feuilles sous la rose. Je taille en biseau à 0,5 cm d'une feuille cachant au creux de son aisselle un bourgeon orienté vers l'extérieur ; la tige émettra bien vite un nouveau rameaux florifère.
Pour couper les roses fanées, je procède le matin, après dissipation de la rosée, sur un rosier bien sec. C'est mieux de se munir de gants rosiers qui me protégeront efficacement des épines !
Et d’un sécateur adapté, bien aiguisé et désinfecté entre chaque plant.
Même si cela parait tentant, simple et commun, tailler juste sous la rose n’est pas le geste le plus adéquat.
En réalité, coupée à cet endroit, la tige n’aura que peu d’utilité, peu de chance de ramifier et le résultat sera à la fois peu efficace et assez inesthétique.
Je coupe la fleur fanée tout en favorisant la future reprise et en préservant la silhouette générale. Pour ce faire une méthode simple…
Partant de la fleur à couper, je descends le long de la tige. Chemin faisant je rencontre une première feuille composée de 3 folioles (3 petites feuilles), parfois j'en rencontre une seconde ainsi formée jusqu’à tomber sur une feuille composée, elle, de 5 folioles.
Généralement, à la base de cette feuille-là, un œil s’est formé à fleur de tige. Les yeux sont le préambule des bourgeons de branches qui porteront les fleurs. Il faut donc veiller à toujours couper une branche au-dessus d’un œil qui se dirige vers l’extérieur. Il sera à l’origine de la prochaine ramification. Ainsi, pour favoriser cette repousse, je coupe juste au-dessus, à un demi-centimètre environ, légèrement en biseau orienté à l’opposé de l’œil pour faciliter l’écoulement de l’eau de pluie ou d’arrosage.
Si vous considérez que votre rosier est trop haut et que la silhouette mérite d’être densifiée, vous pouvez choisir de couper la tige plus bas ; choisissez cependant de tailler la tige toujours au-dessus d’une feuille à 5 folioles.C'est ce que j'ai fait sur mon rosier arbustif "Hugues Aufray " ...
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Dans le cas d’un rosier à fleurs groupées, je supprime les fleurs fanées une à une, au fur et à mesure.
Cela allège l’ensemble, le rend plus esthétique et permet aux fleurs restantes de mieux s’épanouir. Je procède à une coupe de la tige quand l’ensemble du bouquet est passé.
Les maladies les plus courantes des rosiers chez moi sont la rouille et le marsonia la maladie des taches noires .
La rouille du rosier apparait dès le début du printemps et jusqu’à l’automne. Il s’agit d’une forme de champignon qui se pose sur nos magnifiques rosiers. Si les feuilles tombent trop prématurément, cela annonce l’arrivée de cette maladie.
Si en regardant le feuillage, je vois une sorte de dépôt poudreux et orangé en dessous ou au dessus des feuilles et laissent apparaître une tâche de couleur rouge.
Le traitement contre la rouille est simple. Je retire toutes les feuilles touchées par la maladie rapidement et j'applique à l’aide d’un pulvérisateur de l’extrait de prêle.
Pour prévenir la rouille, je pense bien à ne pas mettre à leur côté des plantes qui peuvent s’affecter facilement comme la rose trémière.
La maladie des taches noires :Lorsqu’il fait très chaud, les feuilles deviennent jaunes et tâchées de noir… Cela signifie qu’elles sont atteintes d’un champignon « le marsonia ».
Cette maladie à la particularité de réapparaître les autres années. C’est pourquoi, il faut penser à bien la traiter.
Le procédé de traitement est identique à celui de la rouille de l’extrait de prêle.
Pour prévenir les taches noires sur les feuilles des rosiers, je supprime toutes les feuilles porteuses de la maladie, les bois morts et si c'est vraiment important j'applique de la bouillie bordelaise sur les rosiers malades ,dès l’arrivée de l’automne.
La bouillie bordelaise, d’origine naturelle, à base de cuivre, fait partie des produits utilisables en agriculture biologique, en tant que fongicide ,mais il ne faut pas l'utiliser trop souvent.
Il devient toxique et polluant pour les sols lorsque le traitement est renouvelé trop fréquemment du fait de conditions climatiques : les pluies vont faire ruisseler ce cuivre en surdose dans le sol vers les cours d’eau, intoxiquant également la faune aquatique. Sans compter que les vers de terre, si précieux pour le travail et la vie de nos sols, vont être empoisonnés ainsi que de nombreux micro-organismes souterrains tout aussi importants pour la vie microbiologique des sols qui s’appauvrissent donc ….
Je peux repiquer en ce moment en godets individuels, les plantules de giroflées, pensées
ou monnaie du pape semées le mois précédent.
Je rabats le feuillage des vivaces à floraison printanière.
Je supprime les fleurs fanées sur mes plantes pour induire la remontée de la floraison.
Les hémérocalles ,les coréopsis, les gaillardes, les achillées, les cosmos, ou les scabieuses apprécient tout particulièrement ce traitement qui les fera fleurir de longs mois durant.
Je continue à Pincer les boutons latéraux des chrysanthèmes pour obtenir de plus grosses fleurs.
Je palisse les plantes grimpantes en les fixant solidement au fur et à mesure de leur pousse.
Je marcotte mes œillets.
Pour cela j'épands un mélange de tourbe et de sable humide au pied de la plante. Je retire ensuite les feuilles au milieu d'une belle tige latérale et basse pour ne laisser que le toupet sommital. Je pratique une incision avec un couteau pointu juste en dessous du dernier nœud sans feuilles pour effectuer une languette. Je pose cette marcotte sur la terre préparée et je la maintiens enterrée avec une épingle à cheveux. L'enracinement prend environ six semaines.
Je divise les touffes de vivaces bien installées.
Si vous avez encore de la place ,(ce qui n'est pas le cas chez moi !) il est encore temps de semer en début de mois le cosmos, l'ipomée ou la balsamine.
Je peux semer des bisannuelles comme la verveine de Buenos Aires , chez moi celle ci se sème toute seule à tout va ! Même dans l'allée du garage !!! Pourquoi pas semer des giroflées, delphiniums, myosotis, pensées,
ou les campanules pour une floraison en automne ou au printemps prochain.
C'est le moment de semer des vivaces comme les roses trémières,
les cyclamens, ou les cinéraires pour une floraison qui interviendra l'année suivante.
Je tuteure les glaïeuls surtout s'ils sont exposés à une situation venteuse.
Je coupe les fleurs fanées des lys.
Je divise les touffes vieillissantes d'iris qui fleurissent moins. J'utilise pour cela un couteau bien tranchant et désinfecté.
En début juillet c'est encore le moment de planter les bulbes à floraison automnale : Amaryllis belladonna, colchique, nérine ou Sternbergia lutea.
Je surveille l'apparition de maladies qui se développent volontiers pat temps chaud et humide.
Jacques tond le gazon régulièrement en augmentant la hauteur de coupe pour que la pelouse résiste mieux à la sécheresse.
Je continue les opérations de binage, de paillage et d'arrosage programmée la nuit pour éviter les déperditions d'eau par évaporation ...
Depuis déjà quelques années, nous souffrons chaque été d’épisodes de sécheresse, de canicules, plus ou moins prolongés et souvent associées à des restrictions d’eau.
La terre se réchauffe, le jardin aussi. Les saisons avancent dans le temps ? Il faut que je pense à avancer les dates des travaux de jardinage notamment. Je veille aussi à adapter la sélection de végétaux que j'installe dans mon carré de verdure en choisissant des variétés plus résistantes à la chaleur estivale et à l'absence d'eau.
Il est évident que cela n’ira pas en s’arrangeant avec le temps et même si l’arrosage est encore autorisé, celui-ci nous coûtera notre bourse et notre santé. En plus de gaspiller l’eau, une denrée précieuse, je risque de perdre aussi le plaisir de jardiner. Alors que faire ? C'est clair ,je na vais pas m'arrêter de m' occuper de mes chères plantes ! Certainement pas !
Je privilégie un arrosage automatique moins fréquent, mais la nuit (Jacques a installé un programmateur) pour que l'eau ait le temps d'atteindre les racines avant de s'évaporer. Si des restrictions d'eau sont mises en place, selon le niveau d'alerte, je peux être amenée à ne pas arroser certains jours. Dans ce cas, je fais des choix :
Je n'arrose pas toutes mes plantes, je choisis en priorité d'arroser les plantations qui sont dans leurs deux premières années de vie et dont les racines ne sont pas arrivées à maturité.
Les plantes en pot sont aussi prioritaires, car leur substrat s'assèche bien plus vite !!!
J'opte pour l'irrigation au goutte à goutte :
Parfaitement adaptée au milieu désertique, je mise sur l’irrigation au goutte-à-goutte pour arroser. Cette technique permet d'économiser un maximum d'eau. Les gouttes sont déposées au pied de mes plantes, près des racines ; chaque goutte d'eau est importante ! Pratique lorsque l’on s’absente, puisqu'il peut être automatisé et programmable sur un mois, le goutte à goutte fournit juste la quantité d’eau adaptée aux plantes, selon les réglages.
Il y a quelques années déjà ,j'ai choisi l'alternative de remplacer le gazon par du gravier dans certaines parties du jardin. Le gravier est utilisé comme couche superficielle posée sur la terre. Les plantes habituelles trouveront ainsi le substrat idéal pour leur développement, le gravier venant simplement se substituer au gazon.
La sécheresse gagne du terrain en France, et la situation risque encore de s’aggraver avec la vague de chaleur qui sévit en ce moment sur tout le territoire. Dans cette situation, tous les moyens sont bons pour limiter sa consommation d’eau au jardin.
Une solution est radicalement efficace : opter pour des plantes qui n’ont pas du tout besoin d’arrosage. Vous avez envie de vous y mettre ? Voici une sélection de douze plantes résistantes à la sécheresse, sélectionnées par le magazine Terre de jardins.
Beaucoup de plantes rustiques sont capables de pousser, de fleurir, de prospérer même durant la sécheresse. Au fur et à mesure des années et d'étés secs, j'ai fait sélection de vivaces fleuries, couvre-sols et graminées résistantes à la sécheresse, idéales dans mon jardin sans arrosage… De quoi fleurir mon petit espace tout l’été sans craindre l’absence de pluie.
-Le sarcococca une floraison hivernale et parfumée appréciée des jardiniers.
Encombrement : buisson au feuillage dense, jusqu'à 2 m de hauteur et 1 mètre de largeur. Port étalé plutôt bas.
Croissance : en touffe dense de tiges dressées.
Floraison : au cœur de l'hiver, petite fleurs blanc-crème ou rosées, suivies de baies luisantes noires.
Sol : bien drainé, plutôt acide mais tolérant au calcaire.
Exposition : ombragée.
Climat : zone tempérée, frais.
- L'ail d'ornement
Allium giganteum : jusqu'à 2 m de hauteur.
Croissance : rapide, se met en repos aux premières chaleurs. Bien souvent, la végétation s’arrête à la fin de la floraison. avec des tiges droites portant une inflorescence sphérique unique, composée d’une multitude de petites fleurs mauve. Entre mai et juin, selon l'ensoleillement. Les ombelles atteignent une dizaine de centimètres de diamètre.
Sol : parfaitement drainé et léger de préférence, modérément riche.
Exposition : soleil indispensable.
Climat : bonne résistance au froid, tous climats, même en altitude à condition que le sol soit bien drainé.
Distance et profondeur de plantation :je plante les bulbes d'allium à une profondeur de 2 ou 3 fois leur hauteur. Pour un bel effet, je fais une plantation dense, à 10 cm les uns des autres, soit une trentaine de bulbes au mètre carré.
-Le Sedum d’automne: Sedum spectabile fleurit tardivement, d’où son nom, entre août et octobre. Ce qui est une bénédiction pour les derniers papillons de la saison et quelques abeilles en fin de vie.
-La Valériane des jardins (Centranthus ruber) possède une superbe floraison rose de juin à octobre. Ses fleurs sont très nectarifères et attirent beaucoup les papillons. Cette plante est quasiment inratable car elle pousse partout, mais avec une préférence pour les sols pauvres et secs, et s’insérera avec succès dès qu’elle entrevoie un petit bout de terre nue dans un massif ou simplement un trou dans les joints de maçonnerie.
-L'euphorbia Characias formant parfois des touffes de plus d’un mètre de largeur, appelée aussi Euphorbe arbustive est intéressante à plus d’un titre. Elle résiste très bien à la sécheresse, peut pousser dans des endroits compliqués (sur un muret par exemple) et montre un feuillage vert bleuté persistant toute l’année. Véritable curiosité botanique, cette Euphorbe nous gratifie d’une très agréable « floraison » jaune-verdâtre qui dure entre juin et septembre.
-La verveine de Buenos Aires (verbena bonariensis) est une vivace à la courte durée de vie, mais qui se ressème spontanément : il suffit de la laisser monter en graine, les semences se disperseront et de nouveaux plants feront leur apparition. Elle dévoile de juin à novembre une belle floraison aérienne bleu violacé, portée par de grandes tiges rigides. Et en plus, elle attire les papillons !
- La gaura
Cette élégante plante à la croissance rapide et à la longue floraison est bien pratique : elle pousse partout, même dans les sols caillouteux. Ses tiges fines et souples portent une multitude de petites fleurs légères blanches ou roses qui apparaissent l’été, entre juin et octobre. La gaura lindheimeri peut mesurer jusqu’à 1,5 m de hauteur. Privilégiez une exposition au soleil, voire à la mi- ombre.
-L’euphorbia myrsinites ne passe pas inaperçue avec son feuillage persistant (qui reste en place toute l’année) charnu, vert bleuté, disposé en écailles autour de ses tiges rampantes. Sa floraison vert-jaune, qui arrive au printemps, vaut elle aussi le coup d’œil. Cette plante de petite taille est également très résistante au froid (jusqu’à -25 °C).
-Erigeron karvinskianus ou vergerette n’a pas volé son surnom de « pâquerette des murailles ». Elle lui ressemble un peu au niveau de sa floraison qui s’étale entre mars et octobre, avec une pause en période de sécheresse, pour reprendre de plus belle dès le retour de la pluie. Elle s’accommode des sols les plus secs et pauvres.
-Stipa tenuifolia, une fontaine de cheveux d'ange...
On ne présente plus cette si charmante graminée. Elle est aussi appelé « cheveux d’ange » tant son feuillage est léger et se balance à la moindre petite brise. Autant à l’aise dans une prairie « sauvage » que dans un jardin stricte et contemporain, c’est aussi l’une des graminées les plus résistantes : sols pauvres, sols secs, froid, chaud…
- Lavande elle embaume et embellit les massifs de Provence depuis des décennies, la lavande est la plante aromatique du soleil et de l'été par excellence. La lavande est un arbrisseau qui se plaît dans des sols calcaires ou argilo-calcaires. Elle demande peu d’arrosage et aime l’exposition ensoleillée. Selon les variétés, la floraison peut aller du printemps jusqu’à l’automne. Il s’agit d’une plante emblématique des rocailles, des massifs, des jardins de gravier ou des haies basses fleuries.
- Le jasmin étoilé ou trachelospermum jasminoides est une plante grimpante qui a la particularité d’offrir un fabuleux parfum suave durant les belles journées d’été. Il peut s’enrouler autour d’un treillis, d’un grillage, ou habiller magnifiquement une pergola sur une terrasse.
Le jasmin étoilé peut se cultiver en pleine terre, en pot ou bac, sur le balcon ou la terrasse. D’une croissance relativement rapide, il pourra constituer un super brise-vue parfumé.
-Le népéta, que l'on nomme également menthe des chats, ne demande pas d'eau à la condition qu'il soit en pleine terre, sur sol filtrant. Ses fleurs aromatiques bleu lavande ou blanches s'épanouissent de juin à octobre dans les massifs et les potées, ou comme un couvre-sol.
-L'acanthe, avec son beau feuillage luisant et ses longs épis fleuris tout l'été, est une plante de sol sec mais fertile que l'on installe en sujet isolé sur une pelouse, ou en groupe dans les massifs et les bordures.
-La santoline (Santolina chamaecyparissus), plante de garrigue originaire des zones rocheuses du pourtour méditerranéen, se couvre en été de petite fleurs jaunes globuleuses, dites "en boutons de bottines". Son feuillage aromatique, persistant, gris-vert, compact, dessine une plante vivace à la silhouette en boule atteignant 50 à 60cm de haut, qui se prête très bien à la taille, parfaitement adaptée aux talus secs, rocailles, massifs baignés de soleil, affichant une résistance exceptionnelle à la sécheresse. Le froid hivernal peut descendre jusqu'à -15°C, sans la gêner.
Les fleurs de mon jardin visibles en ce moment au Clos fleuri :
Voila un petit moment que je n'ai pas parlé de mes poulettes …depuis la mort de mes petites poules de soie "Gypsie " et "Cheyenne" .
Aujourd'hui ,malgré mon refus momentané de vouloir en adopter d'autres ,je suis tombée en admiration devant ces deux petits phénomènes ,"des poules de Padoue" .
Elles arborent une coiffure des années 1970… dois-je en dire plus ? Il est difficile de confondre une poule padoue –elle a une coiffure « pom-pom » qui est assez nette et bien rangée !!!
Non pas un élevage, juste trois poules pour le plaisir des yeux et la satisfaction d'avoir de bons œufs. Cet oiseau original n'a pas manqué de me faire sourire lorsque je l'ai vu !
Aujourd'hui vendredi 7 juillet 2023 ,"Aya" à rejoint le petit groupe ,elle ressemble beaucoup à "Frimousse" avec seulement une collerette de plumes plus foncées …
Je suis prête à y consacrer du temps et à faire tout ce qu'il faut pour qu'elles vivent heureuses. L'une des deux est une Padoue chamoisée je vais l'appeler "Fauve " et l'autre est un peu grise ça sera "Frimousse". Elles n'ont que 6 mois et elles vont tenir compagnie à ma dernière vielle poule de soie "King" qui a onze ans .
La mamie poule est allé voir les jeunettes qui caquetaient
Mes poules padoue : Fauve ,Frimousse et Aya